dimanche 26 février 2012
jeudi 19 avril 2007
Aéroport CDG. Vol 702- Paris-Kiev 10h05.
En ce lundi 02 avril 2007, je savais d’avance que le billet retour ne me
servirais pas. Car je réalisais mon rêve d’adolescent rockeur en allant dans le sud-est de
l’Ukraine, sur les terres de mon épouse, m’offrir et ramener avec moi une
maîtresse ou plutôt une babouchka de 1967. (grand-mère)
Une GAZ- Volga 21 (3 vitesses,4 cyl.). Les démarches administratives a Poltava termines et une soirée en famille à Kiev, soit 2 jours pour tout boucler et a moi la route.
Sans lâcher l’objectif de ramener madame avec moi a Paris.
L’Ukraine défila (700kms) rythme par le ronronnement du moteur stabilise sur un
bon 85 km/h, car étant refaite, une période de rodage et d’adaptation s’impose.
La cadence montera jusqu’à 95 km/h maxi tout le long du voyage.
Surtout que cette belle dispose d’une surcharge pondéral de 1650 kg.
(après la seconde guerre mondiale en URSS, certains tanks ont étaient fondus et
avec ce métal la Volga est sortie d’usines).
Premier contrôle douanier, sortie Uk, pas le plus facile pour un Français au
volant d’une voiture de collection de chez eux en période de crise politique
sérieuse.
Mais je savais que j’étais en règle du point de vue administratif et en égarant
quelques Grivnas et 1 bouteille de cote du rhone tout alla vite avec le sourire.
La Pologne s’enchaîna, Dorohusk-Varsovie- Pozna’n au même rythm ‘n blues (manger
vite, dormir 3 heures sur air de repos) en étant taxe a la sortie de la Pologne
de 250 eu. afin de régulariser grand-mère pour l’europe.
Faire le plein (gaz et essence).
Faire attention, pas rouler vite, faire attention, pas rouler vite.
Berlin approche, rendez-vous a Alexander-platz ou 2 copains continueront le
voyage jusqu’au bout avec moi.
Ils me seront d’un grand soutien physique et psychologique plus tard.
Encore merci, Didier et David.
C’était sympa, car je ne chantais plus tout seul dans la voiture mais a trois,
car le vieil auto-radio a lampe est muet pour l’instant.
Dortmud-Cologne et la fatigue bien la.
Je roule depuis Mercredi 2h du matin et nous sommes Vendredi soir.
Des premiers signes de fatigue aussi pour la volga, quelques boulons et vis
desserres et une première panne du démarreur après un arrêt en station essence.
Obliger maintenant pour les copains de pousser la voiture pour la faire
démarrer, cela arrivera 3 fois par la suite.
2000 km de fait, déjà, il en reste 900 environ car je ne suis plus a 100 km
prêt.
En ce lundi 02 avril 2007, je savais d’avance que le billet retour ne me
servirais pas. Car je réalisais mon rêve d’adolescent rockeur en allant dans le sud-est de
l’Ukraine, sur les terres de mon épouse, m’offrir et ramener avec moi une
maîtresse ou plutôt une babouchka de 1967. (grand-mère)
Une GAZ- Volga 21 (3 vitesses,4 cyl.). Les démarches administratives a Poltava termines et une soirée en famille à Kiev, soit 2 jours pour tout boucler et a moi la route.
Sans lâcher l’objectif de ramener madame avec moi a Paris.
L’Ukraine défila (700kms) rythme par le ronronnement du moteur stabilise sur un
bon 85 km/h, car étant refaite, une période de rodage et d’adaptation s’impose.
La cadence montera jusqu’à 95 km/h maxi tout le long du voyage.
Surtout que cette belle dispose d’une surcharge pondéral de 1650 kg.
(après la seconde guerre mondiale en URSS, certains tanks ont étaient fondus et
avec ce métal la Volga est sortie d’usines).
Premier contrôle douanier, sortie Uk, pas le plus facile pour un Français au
volant d’une voiture de collection de chez eux en période de crise politique
sérieuse.
Mais je savais que j’étais en règle du point de vue administratif et en égarant
quelques Grivnas et 1 bouteille de cote du rhone tout alla vite avec le sourire.
La Pologne s’enchaîna, Dorohusk-Varsovie- Pozna’n au même rythm ‘n blues (manger
vite, dormir 3 heures sur air de repos) en étant taxe a la sortie de la Pologne
de 250 eu. afin de régulariser grand-mère pour l’europe.
Faire le plein (gaz et essence).
Faire attention, pas rouler vite, faire attention, pas rouler vite.
Berlin approche, rendez-vous a Alexander-platz ou 2 copains continueront le
voyage jusqu’au bout avec moi.
Ils me seront d’un grand soutien physique et psychologique plus tard.
Encore merci, Didier et David.
C’était sympa, car je ne chantais plus tout seul dans la voiture mais a trois,
car le vieil auto-radio a lampe est muet pour l’instant.
Dortmud-Cologne et la fatigue bien la.
Je roule depuis Mercredi 2h du matin et nous sommes Vendredi soir.
Des premiers signes de fatigue aussi pour la volga, quelques boulons et vis
desserres et une première panne du démarreur après un arrêt en station essence.
Obliger maintenant pour les copains de pousser la voiture pour la faire
démarrer, cela arrivera 3 fois par la suite.
2000 km de fait, déjà, il en reste 900 environ car je ne suis plus a 100 km
prêt.
La Belgique est la (2500 km) est un plein de gaz suspect vers la frontière
Allemande fait tousser la voiture sur 3 cylindres, elle s’étouffe un peu et donc
la vitesse tombe a 70 km/h.
Liège approche, samedi 07 avril 17h environ sur une bretelle d’autoroute a 400
km de Paris.
Miss Volga donne un dernier signe de faiblesse en ne veut plus clignoter en
tournant direction Paris puis s’étouffe et cale sur l’autoroute.
Fini, c’est fini.
Elle ne veut plus, fatiguée mais pas morte…
Mais la pousser est impensable et par mesure de sécurité, nous sommes obliger de
nous éloigner de la belle car les voitures passent a 150 km/h a quelque mètres
de nous.
Les 3 heures d’attente sur le bord de l’autoroute furent terribles et l’arrivée
d’un dépanneur Belge super gentil remonta le morale de toute la petite troupe de
cheminots que nous sommes.
Voilà, mon diamant est stokes au milieu d’épaves, d’accidents en tout genre, de
quoi vous glacer le dos.
Le patron me propose de garder la voiture chez lui pour nous permettre de
rentrer a Paris et revenir la chercher plus tard, après Pâques.
Une nuit a Liège et dimanche 08 avril , 09h04 nous prenons le Tgv direction
Paris-nord.
Arrivée 11h04.
Le morale au plus bas, mais dame Volga m’attendait, nous avons fait 2500 km sur
2900 ensembles, de quoi créer des liens et je savais qu’ après une bonne cure de
repos et quelques coups de clés, elle tournerait a nouveau comme une
merveilleuse montre Suisse, pardons comme un tank soviétique. (humour!?!?)
Et aujourd’hui c’est le cas.
Le mardi après Pâques, je suis repartis a Liège, réparer et fais les derniers
450 k restant.
Ouf !? Yahou?! Hourra ?! Enfin Paris ?!
J’ai bien roule, mais surtout et avant tout rencontre des gens et traverses des
paysages magnifiques et typiques.
S.Philippe.
Allemande fait tousser la voiture sur 3 cylindres, elle s’étouffe un peu et donc
la vitesse tombe a 70 km/h.
Liège approche, samedi 07 avril 17h environ sur une bretelle d’autoroute a 400
km de Paris.
Miss Volga donne un dernier signe de faiblesse en ne veut plus clignoter en
tournant direction Paris puis s’étouffe et cale sur l’autoroute.
Fini, c’est fini.
Elle ne veut plus, fatiguée mais pas morte…
Mais la pousser est impensable et par mesure de sécurité, nous sommes obliger de
nous éloigner de la belle car les voitures passent a 150 km/h a quelque mètres
de nous.
Les 3 heures d’attente sur le bord de l’autoroute furent terribles et l’arrivée
d’un dépanneur Belge super gentil remonta le morale de toute la petite troupe de
cheminots que nous sommes.
Voilà, mon diamant est stokes au milieu d’épaves, d’accidents en tout genre, de
quoi vous glacer le dos.
Le patron me propose de garder la voiture chez lui pour nous permettre de
rentrer a Paris et revenir la chercher plus tard, après Pâques.
Une nuit a Liège et dimanche 08 avril , 09h04 nous prenons le Tgv direction
Paris-nord.
Arrivée 11h04.
Le morale au plus bas, mais dame Volga m’attendait, nous avons fait 2500 km sur
2900 ensembles, de quoi créer des liens et je savais qu’ après une bonne cure de
repos et quelques coups de clés, elle tournerait a nouveau comme une
merveilleuse montre Suisse, pardons comme un tank soviétique. (humour!?!?)
Et aujourd’hui c’est le cas.
Le mardi après Pâques, je suis repartis a Liège, réparer et fais les derniers
450 k restant.
Ouf !? Yahou?! Hourra ?! Enfin Paris ?!
J’ai bien roule, mais surtout et avant tout rencontre des gens et traverses des
paysages magnifiques et typiques.
S.Philippe.
BONNE ROUTE………BON VOYAGE
CONTACT : serieys.royik@free.fr
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