Aéroport CDG. Vol 702- Paris-Kiev 10h05.
En ce lundi 02 avril 2007, je savais d’avance que le billet retour ne me
servirais pas. Car je réalisais mon rêve d’adolescent rockeur en allant dans le sud-est de
l’Ukraine, sur les terres de mon épouse, m’offrir et ramener avec moi une
maîtresse ou plutôt une babouchka de 1967. (grand-mère)
Une GAZ- Volga 21 (3 vitesses,4 cyl.). Les démarches administratives a Poltava termines et une soirée en famille à Kiev, soit 2 jours pour tout boucler et a moi la route.
Sans lâcher l’objectif de ramener madame avec moi a Paris.
L’Ukraine défila (700kms) rythme par le ronronnement du moteur stabilise sur un
bon 85 km/h, car étant refaite, une période de rodage et d’adaptation s’impose.
La cadence montera jusqu’à 95 km/h maxi tout le long du voyage.
Surtout que cette belle dispose d’une surcharge pondéral de 1650 kg.
(après la seconde guerre mondiale en URSS, certains tanks ont étaient fondus et
avec ce métal la Volga est sortie d’usines).
Premier contrôle douanier, sortie Uk, pas le plus facile pour un Français au
volant d’une voiture de collection de chez eux en période de crise politique
sérieuse.
Mais je savais que j’étais en règle du point de vue administratif et en égarant
quelques Grivnas et 1 bouteille de cote du rhone tout alla vite avec le sourire.
La Pologne s’enchaîna, Dorohusk-Varsovie- Pozna’n au même rythm ‘n blues (manger
vite, dormir 3 heures sur air de repos) en étant taxe a la sortie de la Pologne
de 250 eu. afin de régulariser grand-mère pour l’europe.
Faire le plein (gaz et essence).
Faire attention, pas rouler vite, faire attention, pas rouler vite.
Berlin approche, rendez-vous a Alexander-platz ou 2 copains continueront le
voyage jusqu’au bout avec moi.
Ils me seront d’un grand soutien physique et psychologique plus tard.
Encore merci, Didier et David.
C’était sympa, car je ne chantais plus tout seul dans la voiture mais a trois,
car le vieil auto-radio a lampe est muet pour l’instant.
Dortmud-Cologne et la fatigue bien la.
Je roule depuis Mercredi 2h du matin et nous sommes Vendredi soir.
Des premiers signes de fatigue aussi pour la volga, quelques boulons et vis
desserres et une première panne du démarreur après un arrêt en station essence.
Obliger maintenant pour les copains de pousser la voiture pour la faire
démarrer, cela arrivera 3 fois par la suite.
2000 km de fait, déjà, il en reste 900 environ car je ne suis plus a 100 km
prêt.
En ce lundi 02 avril 2007, je savais d’avance que le billet retour ne me
servirais pas. Car je réalisais mon rêve d’adolescent rockeur en allant dans le sud-est de
l’Ukraine, sur les terres de mon épouse, m’offrir et ramener avec moi une
maîtresse ou plutôt une babouchka de 1967. (grand-mère)
Une GAZ- Volga 21 (3 vitesses,4 cyl.). Les démarches administratives a Poltava termines et une soirée en famille à Kiev, soit 2 jours pour tout boucler et a moi la route.
Sans lâcher l’objectif de ramener madame avec moi a Paris.
L’Ukraine défila (700kms) rythme par le ronronnement du moteur stabilise sur un
bon 85 km/h, car étant refaite, une période de rodage et d’adaptation s’impose.
La cadence montera jusqu’à 95 km/h maxi tout le long du voyage.
Surtout que cette belle dispose d’une surcharge pondéral de 1650 kg.
(après la seconde guerre mondiale en URSS, certains tanks ont étaient fondus et
avec ce métal la Volga est sortie d’usines).
Premier contrôle douanier, sortie Uk, pas le plus facile pour un Français au
volant d’une voiture de collection de chez eux en période de crise politique
sérieuse.
Mais je savais que j’étais en règle du point de vue administratif et en égarant
quelques Grivnas et 1 bouteille de cote du rhone tout alla vite avec le sourire.
La Pologne s’enchaîna, Dorohusk-Varsovie- Pozna’n au même rythm ‘n blues (manger
vite, dormir 3 heures sur air de repos) en étant taxe a la sortie de la Pologne
de 250 eu. afin de régulariser grand-mère pour l’europe.
Faire le plein (gaz et essence).
Faire attention, pas rouler vite, faire attention, pas rouler vite.
Berlin approche, rendez-vous a Alexander-platz ou 2 copains continueront le
voyage jusqu’au bout avec moi.
Ils me seront d’un grand soutien physique et psychologique plus tard.
Encore merci, Didier et David.
C’était sympa, car je ne chantais plus tout seul dans la voiture mais a trois,
car le vieil auto-radio a lampe est muet pour l’instant.
Dortmud-Cologne et la fatigue bien la.
Je roule depuis Mercredi 2h du matin et nous sommes Vendredi soir.
Des premiers signes de fatigue aussi pour la volga, quelques boulons et vis
desserres et une première panne du démarreur après un arrêt en station essence.
Obliger maintenant pour les copains de pousser la voiture pour la faire
démarrer, cela arrivera 3 fois par la suite.
2000 km de fait, déjà, il en reste 900 environ car je ne suis plus a 100 km
prêt.